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Avant propos : Je ne vous referais pas le coup du temps qui s' écoule, de toute manière, je crois qu' il est parti se dorer la pillule pendant que l' autre là-bas se roule une cigarette et pendant que la prof' regarde les reponses des mots-croisés à la fin du magazine... Elle s' est trompée. Elle a même piqué le gateau. Bref...

Cette fois-ci j' étais vraiment parti très loin, vraiment parti très haut. Autrement que la fois passé, passablement je me suis en envolé. Je me suis laissé emporté par le cerf-volant géant puisque je m' étais échappé de ma bulle. Et à peine arrivé, des conciliabulles se sont formées. Encerclé, emmurré, écrasé, enterré... Une sorte de vanité. Je n' y avais pas encore pensé, mais je crois que si j' avais le choix je laisserai choir ce petit bout de mouchoir avarié. Il fait l' effet d' un farfadet au milieu d' un paysage que l' artiste peignait au dessus des allés de pavés. La paleur manquait à l' appel, elle s' était en allée à tire d' ailes.
Une ère nouvelle venait de naître, un nouvel air englobait tout mon être. Une fois repartit, tout était noir comme la suit. Cette teinte m' a dit : " Je décide ! Ce sera la suicide ! ". Alors traversant les nuages, je criais aveuglant monstres et sorcières, coutumes et traditions d' hier. Mauvaise direction, me voilà perdu dans un tourbillon. Un tourbillon mauve et blanc, je bus la tasse, le goût du sang. Je ne deciderais pas, on avait fait le choix pour moi. Defenestration ? Pendaison ? Flinguation ? Trop de questions... Surement que l' on se reverra, on se donne rendez-vous en bas.